Recourir à un robot de soudage permet à un industriel ou à une PME d’espérer un gain de productivité d’un rapport de 2 à 5, tout en libérant le technicien d’activités répétitives et dangereuses. Naturellement, il faut être attentif aux différents critères clés, pour le sélectionner correctement par rapport à son activité.
Haltes aux idées-reçues sur la robotique
Depuis les années 1970, la robotique n’a cessé d’évoluer pour proposer, aujourd’hui, des solutions adaptées aux petites comme aux grandes séries. Le prix des robots a également pu être optimisé pour devenir accessible à des structures plus modestes.
Contrairement aux idées reçues, les robots ne menacent pas l’emploi des soudeurs : ils améliorent leur productivité et leur compétitivité, tout en assumant les tâches les plus pénibles et les plus dangereuses. Avec son concours, le professionnel peut se concentrer sur des aspects plus valorisants de son métier.
Les critères de choix d’un robot de soudage
Naturellement pour en faire un vrai partenaire en soudage, il doit répondre à ces quelques pré-requis indispensables :
- Sa calibration. L’opérateur doit pouvoir agir sur chaque axe, de manière individuelle, vérifier le col de cygne et l’extrémité du fil (centre outil) pour limiter les risques de décalages.
- Sa polyvalence. Plus le robot peut combiner plusieurs procédés de soudure, plus il offre un avantage concurrentiel et un amortissement plus court de son coût.
- Sa Programmation Hors Ligne (PHL). En embarquant cette caractéristique indispensable, le robot permet de gagner du temps dans la programmation et dans l’immobilisation machine.
- Son installation et sa mise en œuvre. Un ensemble mono-bloc complet garantit, entre autres choses, la rigidité du robot de soudage, une sécurité et une propreté optimisées, un temps d’installation et de calibrage plus court…
Si vous avez besoin d’un accompagnement sur ce procédé, n’hésitez pas à vous adresser à un professionnel de la sous-traitance qui saura vous guider.